jeudi 26 juin 2014

Meringues à la perfection !



Tout à l'heure, alors que j'étais chez ma grand-mère, et qu'elle faisait une crème patissière nécessitant 6 jaunes d'oeuf, mais pas de blanc, elle s'est dirigée en direction de l'évier pour jeter les 6 blancs d’œuf inutiles. "STOP !". Parce que oui, je déteste gaspiller, même si, des blancs d’œuf, ce n'est pas grand chose, mais pourquoi ne pas s'en servir, après tout ? Des îles flottantes ? Pourquoi pas, mais je n'apprécie pas particulièrement. Soudain, l'idée de génie : Des MERINGUES ! Vous savez, des bonnes meringues croustillantes à l'extérieur et moelleuses (presque fondantes) à l'intérieur. Toute de suite, ma grand-mère me met en garde : "Fait attention Sarah, c'est très compliqué de réussir des meringues, il faut un temps de cuisson très précis". Pas de problème, je relève le défi, j'adore ça ! Me voilà partie sur Google à la recherche d'une recette de meringue, pour savoir si il faut beaucoup d'ingrédients, et surtout donc, le temps de cuisson si précieux et précis.
Au final, je tombe sur cette recette, sur le site Marmiton, plutôt simple et qui me plaît bien :


Temps de préparation : 20 minutes
Temps de cuisson : 60 minutes 
 
Ingrédients (pour 6 personnes) :
- 4 blancs d’œufs
- 300 g de sucre (2x150gr)



Préparation de la recette :

Mélanger les 4 blancs d’œufs avec 150 g de sucre en les montant en blanc ferme.

Puis rajouter les 150 g de sucre restant et mélanger délicatement afin d'éviter de casser les blancs.

Sur un plan mettre une feuille de papier sulfurisé, déposer un peu de meringue en écartant suffisamment les petits tas pour éviter qu'il collent entre eux.

Cuire 20 min à 120°C (thermostat 4), puis 1h à 100°C (thermostat 3-4).




Alors c'est parti, je m’attèle à la confection de mes petites meringues : je bats les blancs en neige (avec un batteur manuel, ça fait les muscles !), j'ajoute le sucre (la moitié avant de les battre, l'autre moitié que j'incorpore bien délicatement comme conseillé – ce dont j'ai l'habitude parce que je fais souvent des mousses au chocolat), et ensuite, une fois que j'ai obtenu une pâte meringue à la texture délicieusement onctueuse (pour vous donner une idée on aurait dit de la crème fraîche semi-épaisse, pas trop rigide donc), j'ai fait des petits tas sur une plaque de cuisson recouverte de papier sulfurisé, et j'ai fait cuire.
Et c'est avec satisfaction que j'ai pu voir mes jolies petites meringues prendre forme doucement, se bomber et prendre une jolie couleur écru au fil de la cuisson. Au top final des 1h20, elles étaient tout simplement parfaite. Et quel délice ! Vraiment comme celles que l'on achète dans les boulangeries... 



Je suis vraiment fière de moi, je m'améliore de jour en jour dans la pâtisserie et j'adore découvrir de nouvelles recettes ! :D


Et vous, vous aimez les meringues ? Vous en avez déjà fait vous-même ? C'est le moment de se lancer, cette recette est géniale !


xoxo
SweetyS.♥

samedi 21 juin 2014

jeudi 19 juin 2014

Une Vie de Chats #1


Petites explications : Coucou les louloutes ! 
Alors voilà, ayant actuellement 5 chats chez moi (mes bébés d'amour), mais ayant aussi 2 chattes qui ont fait des portées au cours de leur vie, et ayant été par le passé maison d'accueil de chatons en attendant qu'ils trouvent une famille (sinon ils auraient été tué à la naissance, ce que je ne conçois pas) j'ai décidé de vous publier chaque mois une petite série de 10 photos d'eux, que ce soit les miens, ou ceux que j'ai hébergé (je vous le préciserais), parce que je sais que nous sommes nombreuses à adorer ces petites boules de poils à croquer. 
Voici donc la 1ère série, ce sont tous mes propres chats.


Vous aimez ? Et vous, vous avez des animaux de compagnie que vous aimez plus que tout, et que vous passez votre temps à prendre en photo ? :p


xoxo
SweetyS.♥

lundi 16 juin 2014

Se débarrasser des poils !


Ça y est les filles, après l'avoir attendu, longtemps, très longtemps même, revoilà l'été ! Forcément, avec le soleil, la chaleur, on ressort toutes nos shorts, jupes, petite robe, débardeurs et tongs,HAPPY SUMMER LIFE quoi ! Mais du coup, qui dit été et petite tenue estivale, dit aussi épilation parfaite ! Parce que oui, qu'on se le dise, même si on s'est laissé aller cet hiver et qu'on avait plus ou moins le pelage d'un ours planqué par les jambes de nos pantalons (parce que personne ne le voit, ou parce que notre Jules s'en moque !), arrivé le moment de se déshabiller un peu, on a pas envie de passer pour la femme de Cromagnon ou pour la portugaise poilue (ouuuh le gros clichéé !!). Voici donc pour vous un petit topo sur les différentes parties du corps à tenir dans la mesure du possible "clean de poils", et quelles sont les options qui se présentent à vous pour y parvenir !
 





Aujourd'hui, je vais m'en tenir au plus commun des poils à éradiquer (et les plus emmerdants !), c'est à dire ceux des : jambes – aisselles – maillot.









 Les poils des jambes

Ceux-là, c'est sûrement les premiers dont vous avez commencé à vous débarrasser, parce que ce sont les premiers qui apparaissent visiblement, avant même la puberté. Evidemment, on conseille toujours aux jeunes d'attendre le plus longtemps possible avant de commencer à les épiler/raser, parce qu'ils ne sont d'abord qu'un petit duvet, et qu'une fois que c'est parti, c'est pour la vie qu'il faut s'en occuper, et pour peu qu'ils repoussent plus drus et plus foncés (genre si on est bien brune, comme moi quoi !), c'est loin d'être une partie de plaisir !
Alors, ici, vous avez plusieurs options : soit vous épilez les jambes entières (du haut de la cuisse à la cheville), soit vous vous contentez de faire les demies-jambes (du genou à la cheville).
Conseil : Si vous êtes blonde (ou avec des cheveux et poils clairs) et que vos poils ne sont pas trop voyant, je conseille de n'épiler que les demies-jambes, parce que si votre peau bronze un peu pendant l'été, les poils présents sur les cuisses deviendront quasiment invisibles (la couleur de la peau fonce, et les poils décolorent avec le soleil !)
Si vous êtes brune (ou avec des cheveux et poils foncés), la meilleure chose à faire est de n'épiler que les demies-jambes, et d'éventuellement épiler vos cuisses pour l'été, mais uniquement deux à trois fois (pendant vos périodes de vacances par exemple), le bronzage permettant également encore une fois de plutôt bien masquer les repousses, le poil nouveau blondissant au fur et à mesure grâce au soleil.
Bien sûr vous pouvez aussi tout à fait envisager l'épilation intégrale des jambes toute l'année si vous le souhaitez !


Les poils des aisselles

 

Là, le gros soucis, c'est qu'ils suffit qu'on ne les aient pas rasé pour que les gens se disent : "BAAH ! Elle est dégueu' cette fille !". Mais non, mesdemoiselles, les poils sous les bras ne sont pas plus sales que n'importe quels autres poils, pas plus que vos cheveux tiens ! Certes, cela favorise la mauvaise odeur parce que la transpiration reste emprisonnée, mais sachez aussi que lorsque l'on a des poils sous les bras, on transpire moins !!
Mais bon, je suis comme la plupart d'entre vous, je veux que cette partie de mon corps soit absolument imberbe, et peu importe que l'on soit en hiver ou en été. Ici donc, pas de conseil spécifique : on s'en occupe dès qu'ils réapparaissent, pour être toujours clean !








Les poils pubiens – le maillot

On arrive aux plus délicats, aux plus intimes (et à l'un des endroits les plus douloureux pour l'épilation !) : les poils pubiens, ou l'épilation du maillot. Si quelques décennies en arrière, très peu de femmes touchaient aux poils à ce niveau-là, c'est devenu de nos jours une pratique très répandue, sûrement depuis l'apparition du célèbre bikini. Alors mesdemoiselles, comment bien tailler son buisson intime, pour n'avoir ni une forêt vierge entre les jambes, ni le pubis d'une enfant ? Ici, encore une fois, tout est question de goût !

Conseil : Pour celles qui veulent conserver l'intégralité de leurs poils, qui aiment ne pas se sentir "nue" à cet endroit, je vous conseille de simplement couper les poils à l'aide d'un petit ciseau. C'est une manière de garder une certaine pilosité, mais sans non plus avoir ces longs poils bouclottant qui risque de donner un effet volumineux lors du port du bikini par exemple. D'autre part, il est également nécessaire, toujours pour l'aspect esthétique, de se débarrasser des poils qui poussent là où ils ne devraient pas (vous savez, le vilain poil qui s'égare à l'extérieur de la culotte : NON !).
Pour celles qui veulent des poils, mais pas trop, voici mon conseil : épiler la quasi totalité, mais laisser tout de même un triangle de pilosité sur le pubis, qui sera entretenu avec des petits ciseaux afin que ces poils ne soient tout de même pas trop envahissant. Easy, don't you think ?
Et enfin, pour celles qui veulent tout raser, parce qu'elles ne supportent pas de voir un mm² de poils sur leurs corps, et bien, ma foi, faites-le ! L'important étant que votre corps plaisent à vous-même (et à votre Jules éventuellement).


Les solutions envisageables pour se débarrasser des poils : 
 
La plus basique, et la moins coûteuse, c'est le rasoir ! Acheté en supermarché, en lot jetable, en modèle rechargeable, ou même électrique, il est le plus rapide pour obtenir un résultat optimal : "Mince ! Je pars dans 10 minutes, j'allais enfiler ma robe de soirée et je me rends compte que mes jambes ne sont pas épilées !". Pas de panique, en 2 minutes chrono, à l'aide d'un rasoir et de mousse à raser ou bien tout simplement de savon, vos jambes seront toutes douces, et sans aucune souffrance !
Personnellement, je le conseille en cas de force majeur comme je viens de le décrire au-dessus, et aussi pour les aisselles, parce que ce n'est pas douloureux et que cette zone est sensible à l'épilation. Bémol, les poils repoussent assez vite, et plus épais au fil des rasages.


Autre option qui s'apparente un peu au rasoir, c'est la crème dépilatoire : les crèmes dépilatoires sont là pour dissoudre les poils, en attaquant la kératine. Une fois bien ramollis par la crème, les poils tombent. La repousse est donc moins rapide qu’avec un rasoir, mais plus qu’avec la cire ou l’épilation électrique, car la racine du poil n’est pas arrachée. Par contre, l'odeur n'est vraiment pas agréable, et elle n'est pas très efficace sur des poils épais..


Vous pouvez aussi procéder à une épilation grâce à la cire en vous rendant chez une esthéticienne, ou même à domicile grâce aux nombreux kits qui existe maintenant. Vous avez un choix très large, différentes gammes, différents prix, des cires chaudes, ou froides, qui s'appliquent avec bandes ou non... Attention tout de même avant de faire son choix, certaines sont plus adaptées à telle ou telle zone à épiler !



Sinon, il existe également l'épilateur électrique qui arrache le poil, c'est une bonne option, mais à réserver pour les jambes, ou bien pour les filles qui ne sont vraiment pas sensibles, car c'est plutôt très douloureux (je trouve) !


Enfin, la dernière option qui s'offre à vous est le laser, qui vise à détruire complètement le bulbe du poil. L'épilation "définitive", assez coûteuse, est toute fois à prendre avec des pincettes. Car il est évident que lorsque vous vous rendrez à votre séance, tous les poils ne seront pas au même stade de leur évolution, seuls les poils au stade final seront détruits. Il est conseillé de prendre 3 à 5 séances pour obtenir un résultat satisfaisant.


Pour clore ce chapitre épilation, je vais vous proposer mes produits et ustensiles phares, ceux qui me conviennent parfaitement pour être épanouie dans mon épilation hihi : 
 
 







- La crème dépilatoire Veet
- Les rasoirs Pure 3 Lady de Bic
- L'épilateur électrique Calor
- Un petit ciseau











xoxo
SweetyS.♥

mercredi 11 juin 2014

Manucure #1

Hop hop, 1ère petite manucure réalisé par moi-même, bon certes c'est assez brouillon et pas très raffiné, ça penche même plutôt vers le "grossier" que même un enfant de 4 ans pourrait réaliser, mais c'est pas trop mon genre de faire des trucs à la perfection, je ne suis pas très artiste dans l'âme m'voyez vous. Cependant, j'adore avoir les ongles peinturés, et ça m'amuse de faire des dessins dessus, surtout depuis que j'ai eu mon petit joujou à mon anniversaire (le pinceau pro double embout pour ongles Bourjois bien sûr !!).
Donc voilà, c'est ma 1ère que je publie, et j'en suis assez fière malgré mon novisme en la matière. :D 
(Et promis, j'essaierais de m'améliorer pour les suivantes !)

































Pour réaliser cette manucure, j'ai eu besoin de :
- pinceau pro double embout pour ongles Bourjois
- vernis so laque glossy Succès Azuré (n°10) Bourjois
- vernis 1 seconde Sunny Sunday (n°21) Bourjois
- vernis 1 seconde Rainbow Apparition (n°14) Bourjois
- vernis base correctrice + vernis fixant brillant gloss set Bourjois

Tous disponible sur le site Bourjois, et profitez-en, jusqu'à 16 juin, 1 commande sur 10 est remboursée ! :D


Des bisous mes petites ☻

xoxo
SweetyS.♥

jeudi 5 juin 2014

« Résistance » (Série)

« Résistance » est une mini-série française comprenant six épisodes de 52 minutes, réalisée par Dan Franck et diffusée sur TF1 du lundi 19 mai et lundi 2 juin 2014.
Cette série nous plonge au cœur de l'organisation des réseaux de la Résistance française jusqu'à la libération de Paris en Août 1944.


Synopsis
Paris, 1940. Révoltée par l'injustice de l'Occupation, Lili, dix-sept ans, rejoint le groupe de résistants du Musée de l'Homme pour combattre les Allemands et leurs collaborateurs français.
Tandis que la lutte clandestine s'étend à la France entière, les jeunes combattants multiplient les faits d'armes héroïques, en s'exposant à l'implacable répression de l'ennemi.
Encadrée par des adultes aux profils variés, Lili va aider à la fabrication d’un journal clandestin, fournir des armes, des faux papiers, et faire sortir de la France occupée, au péril de sa vie, des aviateurs britanniques. Mais aussi essayer de se rapprocher de son père, pétainiste convaincu, et vivre son premier amour, en plein cœur de la guerre...



Pourquoi cette série est bien faite et mérite d'être vue ?
  •  Déjà, pour son réalisme : Les lumières sont belles, les dialogues crédibles, les costumes et véhicules plus vrais que nature. On est vraiment plongé dans la guerre, on vit avec les personnages, les scénaristes ont réussi à nous transporter hors de notre temps, et avec des décors somptueux et très réalistes, et surtout, c'est une série inspirée de faits réels, dont la plupart des personnages ont existé et ont vécu tout ce qui arrive sous vos yeux durant les épisodes.
  •  Ensuite, grâce à la justesse parfaite des acteurs : les jeunes personnages incarnent leur rôle avec brio, comme Lili, le personnage central de la série incarnée par l’actrice belge Pauline Burlet, ou encore, parmi les jeunes, Tom Hudson, César Domboit, Jérémie Petrus, notamment, qui sont impeccables. Tout comme le plus âgé, Robert Plagnol, dans le rôle de Boris, chef de réseau. On note aussi la présence de certains acteurs français connus, comme Richard Berry, Isabelle Nanty ou Fanny Ardant.
  •  Evidemment, on accroche immédiatement parce qu'on tremble avec les personnages : lorsque les sbires de la Gestapo déboulent pour démanteler un réseau, qu’un officier allemand demande à voir les papiers des passagers à bord d’un train, ou que la milice fait son sale boulot, la tension est palpable. Et l'émotion nous submerge lors des fusillades de certains personnages, déjà parce que l'on se rend bien compte que tout ceci a vraiment existé (car je le rappelle, les personnages sont pour la plupart des gens qui ont véritablement existé – je vous ferais une petite présentation des principaux plus bas dans l'article), et aussi parce qu'on avait déjà commencé à s'attacher à eux au fil de la série...
  •  Et, moi, ce que j'aime, c'est que même dans ce genre de série dramatique et poignante, on retrouve tout de même une histoire d'amour, encore une fois confrontée à la dureté de la guerre, mais ça m'a personnellement permis d'accrocher encore plus à la série.


Les personnages
 
Alice Franchet, dit « Lili »
 
Insouciante avant la guerre mais bientôt poussée par les circonstances, Lili (17 ans) rejoint le réseau du Musée de l'homme, l'un des premiers mouvements de résistance parisien. Elle s'entoure d'un fidèle groupe de camarades avec qui elle mène la lutte. En dépit des épreuves qu'elle traverse, Lili poursuit le combat, espérant à nouveau mener un jour la vie d'une adolescente ordinaire, dans une France libérée.
C'est l'un des seuls personnages fictifs de la série, mais il est une "synthèse d'un grand nombre de femmes résistantes", selon le scénariste Dan Franck.


Jean Frydman, dit « Jeannot » 
 
Délaissé par sa mère qui multiplie les amants, Jeannot s'affiche, du haut de ses 15 ans, comme le plus intrépide de nos jeunes Résistants. D'abord déterminé à rejoindre Londres via l'Espagne, il se résout, après son arrestation à la frontière, à rester en France pour mener le combat aux côtés de Lili, dont il devient le fidèle ami.
Arrêté en 1944, il échappa au peloton d'exécution et s'évada du convoi qui le conduisait à Buchenwald. Il est âgé de 88 ans.


René Sénéchal, dit « le Gosse » 
C'est par l'entremise de Boris que Le Gosse (17 ans) rencontre Lili, qui deviendra son amoureuse. Engagé comme elle dans la lutte contre l'occupant, il est contraint de mettre un terme à ses activités lorsqu'il est repéré par la Gestapo. Condamné à vivre reclus pendant que dehors, Lili poursuit le combat, le Gosse prend son mal en patience.
Membre du réseau du Musée de l'Homme, il a été fusillé en Février 1942 au Mont-Valérien.


André Kirschen 
Très tôt, André (15 ans) et son frère Bernard (17 ans), Juifs d'origine roumaine, s'engagent dans la Résistance. Lorsque Bernard est arrêté par la police française, André ne se contente plus de diffuser de simples tracts anti-allemands, et décide de s'engager dans la lutte armée. Aux côtés de Fredo et ses Bataillons de la Jeunesse, il apprend le maniement des armes et commet bientôt ses premières opérations contre l'ennemi.
À 15 ans, il abat un soldat allemand au métro Porte-Dauphine, en Septembre 1941. Il est mort en 2008.


Boris Vildé, dit « M. Jacques » 
Séduisant ethnologue et linguiste, Boris Vildé (la trentaine) dirige l'un des premiers mouvements de résistance parisien, le réseau dit du Musée de l'Homme. En dépit de ses origines russes, Boris n'hésite pas à risquer sa vie pour son pays d'adoption et de coeur, la France, qu'il ne supporte pas d'avoir vu tomber aux mains des Allemands.
Arrêté après avoir été dénoncé par un traitre, il a été fusillé en Février 1942 au Mont-Valérien.


Berty Albrecht, dite « Victoria » 
Grande figure féminine de la Résistance, fonctionnaire le jour et éditrice de journaux clandestins la nuit, elle fut arrêté et se pendra dans sa cellule de la prison de Fresnes.


Le père de Lili 
Lorsque le père de Lili, ancien combattant de la guerre de 14, apprend que sa fille a transgressé le couvre-feu imposé par les Allemands le soir du 11 novembre 1940, il l'enjoint d'arrêter immédiatement ses activités clandestines et de rentrer avec lui à Nice. Mais Lili refuse, elle veut poursuivre la lutte contre l'occupant. Le père et la fille se séparent - entre eux, l'incompréhension est totale.
Pétainiste convaincu, les évènements vont le transformer en résistant. Il incarne ainsi une certaine mentalité de l'époque.


La Comtesse
Riche aristocrate, la Comtesse refuse de se soumettre au diktat de l'occupant, n'hésitant pas à faire preuve de désinvolture face aux Allemands qui la rudoient. Aussi, lorsque Boris fait appel à elle, c'est tout naturellement qu'elle accepte de mettre ses appartements à disposition pour héberger des prisonniers évadés.
Incarnation de l'aristocratie engagée, la comtesse de La Bourdonnais fut arrêté, emprisonnée puis libérée. Elle reprit ses activités résistantes en cachant des combattants en fuite.


Paulette 
Sympathique gérante d'une maison close au cœur de Paris, Paulette compte parmi sa clientèle de nombreux Allemands. Pour autant, elle n'en reste pas moins patriote. A ses risques et périls, elle accueille des Résistants traqués par la Gestapo, et n'hésite pas à ouvrir les portes de son établissement à Lili et au Gosse lorsqu'ils viennent chercher refuge.
Cette tenancière de bordel, c'est la soupape d'oxygène dans un récit tendu.


Où regarder la série ?
Sur le site TF1 Replay


N'étant pas particulièrement fan des films ou séries historiques, ou même des films français, à quelques exceptions près (j'ai bien aimé Qui veut sauver le soldat Ryan, ou encore La Rafle), je dois avouer que j'ai vraiment eu un gros coup de cœur pour cette série-ci, donc je vous conseille vraiment d'essayer, au moins les premiers épisodes (et ensuite vous regarderez les autres tout naturellement hihi). Et puis, je suis obligée de le dire : N'oubliez pas ! C'est important de se rappeler tout ce qu'il s'est passé à cette époque-là, la vie sous l'occupation, les rafles et les fusillades d'innocents ou de personnes qui se battaient contre les immondités de la guerre, voilà, j'ai l'impression qu'avec cette série j'ai encore plus pris conscience de la vie des Résistants, de leur courage et de l'importance de leurs actions, et du coup, oui, je suis fière de l'avoir regardé, et d'avoir autant apprécié.


 

xoxo
SweetyS.♥